• Sans les consulter (surtout pas!), des Industriels Internationaux Indignes Irresponsables et Insatiables ont décidé de surveiller tous les citoyens à un point de « finesse » terrible et dangereux.
     
    Ils ont chargé leurs porteurs de « bonne parole » (les lobbyistes) de démarcher les responsables politiques (le plus souvent non élus) afin que ceux-ci décident de la façon dont les 99 % de la population seront mangés. Ils ont semble-t-il des moyens de persuasion très efficaces : la preuve, le Conseil européen (les ministres des 28, quoi, NOS ministres) ont chargé les irresponsables (par décret) fonctionnaires européens de pondre un texte « communautaire ». Celui-ci a aussitôt été traduit en loi (d'autres mettent beauuuuuuucoup plus de temps à se voir relayés), et la loi a été votée AU VU DE TOUS.... le 17 août 2015 (t'as vu ? t'as pas vu ? tant pis). 

     
     
     
    A GORGE DÉPLOYÉE

    Et voilà ENEDIS, filiale à cent pour cent d'EDF, qui par son monopole de fait à 95 % gère tout ce qui concerne la moyenne et basse tension en France, en charge de déployer PARTOUT un « nouveau » compteur électrique. C'est vrai quoi, les compteurs actuels, sauf accidents, durent 60, 70 ans : c'est intolérable, au pays de la pérennité combattue. Au moins les nouveaux, pour peu qu'ils soient dehors dans des conditions difficiles, dureront dix fois moins la plupart du temps. Quant aux anciens, on les recyclera, paraît-il. Il est vrai qu'eux sont le plus souvent en métal, pas en plastique.

    Pour plaire à « ces messieurs » qui font la pluie et le beau temps à Bruxelles, les compteurs (ceux que Philippe Monloubou* appelle « capteurs » désormais) transmettront leurs données directement à EDF, mettant 10 000 personnes, chargées de relever les indices, au chômage. Pour assurer cette transmission, les appareils émettront sur les fils électriques tout simplement, par impulsions très fréquentes mais brèves, sur la fréquence de 60 à90 KHz, polluant gravement l'institutionnel 50Hz qui éclaire, chauffe, fait tourner. Il prétend même le faire, sans demander aux usagers à signer un nouveau contrat. Trop facile, très cavalier même. Si cela ne s'appelle pas une dégradation majeure et volontaire de service public....

    Ces courants porteurs en ligne ou CPL (tout le quartier en bénéficiera, puisque leur portée théorique est de 2 Km dans les deux sens (vers un concentrateur, mais aussi vers LES habitations proches) seront donc collectés par 750 000 concentrateurs sur tout le territoire, et eux passeront un coup de fil par téléphone portable (ou l'équivalent) à M'sieu EDF, qui pourra en retour donner des directives aux compteurs (« Change de contrat, bloque le courant... ») sans se déplacer. Je ne vous dis pas déjà toutes les ondes multiples que cela procure, avec des conséquences prévisibles sur les humains, les animaux, les végétaux (eh oui), et les appareils pas du tout conçus pour un tel matraquage.

     
     
     
    CHEZ LES AUTRES AUSSI

    Pour la bonne bouche, il faut préciser que des scénarios similaires excepté le CPL (là il n'y a pas de transmissions de l'opérateur vers le compteur, d'où simplification) sont déjà en cours pour le gaz, et pour l'eau. Là, on va rire : jouant fin les opérateurs changent le compteur pour un autre presque pareil, mais « compatible ». Sauf que le compteur gaz ancien, si on toque avec le doigt, fait pom pom, le nouveau paf paf paf (de la camelote). Puis, sans prévenir personne, par exemple à l'occasion d'un dernier relevé « à pied », l'émetteur (2400 MHz pour le gaz, comme les réémetteurs électricité, 868 MHz pour l'eau, et muni d'une pile) est fixé sur le compteur mécanique. En même temps pour le gaz, des réémetteurs sont installés sur les réverbères (1 sur 3), alors que l'eau utilise des réémetteurs placés sur des immeubles, des clochers, des châteaux d'eau. Pour ces réémetteurs les communes ont d'ailleurs le droit de refuser, ce qui bloque l'installation.

     
    SANTÉ BAFOUÉE, INTIMITÉ RAVAGÉE

    Résultat ? De plus en plus de personnes basculent dans l'EHS, l'électro-hypersensibilité, qui peut occasionner des résultats très graves, comme des syncopes ou des migraines irrémédiables. Particularité : quand les ondes ne sont plus là, les maux disparaissent mais la sensibilité reste. 
     
    Quant aux enfants, c'est pour dans dix, vingt, trente ans qu'il faut s'interroger dès maintenant sur les pathologies souvent graves, parfois mortelles qu'ils vont probablement développer. Des chercheurs étatsuniens disent maintenant que c'est confirmé,  au point de préconiser le changement de catégorie OMS de 2B à 2A.
     
    Côté prestataires, désormais, ils sauront tout de vous : quand vous prenez un bain, quand la télévision fonctionne (et même quelle chaîne, quelle émission vous regardez), quand vous brossez vos dents si la brosse comporte un capteur (mais si, les brosses électriques!), quand il vous faut changer le petit... Plus fort, ces indications, ils pourront les donner, voire les vendre (vu les contrats d'assurance?), ou les livrer à la police. Philippe Monloubou*, président du directoire d'ENEDIS, ne s'en cache pas : « Je suis un opérateur de BIG DATA, et je vais bénéficier de trente-cinq millions de CAPTEURS ». On peut imaginer la masse énorme de données que cela représente, donc le coût des « fermes de serveurs » qui devront les traiter.


    DES ÉCONOMIES QU'ILS DISAIENT : TU PARLES !

    Récapitulons. Les capteurs Linky ne sont pas seulement mécaniques, ils prendront du courant pour traiter les données. Ils incluent une sorte de petit ordinateur embarqué, qui consomme du courant. Plus que le disque mécanique des compteurs actuels. Ils émettront en direction de (tout le monde, en fait), et les 750000 concentrateurs qui récupèreront les données consommeront du courant pour retransmettre ces données aux grands réémetteurs régionaux ou nationaux en ajoutant au trafic des téléphones cellulaires. Les fournisseurs vont donc stocker et traiter, catégoriser, d'où ces fermes de serveurs qui consomment énormément, chauffent énormément (certains envoient assez de chaleur pour chauffer des gymnases).....

    Ces grandes envolées d'installations sont incluses dans « la loi de transition énergétique » chargée de FAIRE DES ÉCONOMIES. Où sont les économies ? Ah oui, chez les releveurs des compteurs, qui désormais pointeront à Pôle Emploi, belle réussite.
    « Contre nous de la tyrannie

    L'étendard sanglant est levé.... »

    Certes, il n'est plus sanglant, mais les résultats sont tout aussi meurtriers à long terme. Et on reprocherait aux CITOYENS de ne plus tout accepter ?

    Pour le collectif 44 Contre Linky,

    Jean-Claude

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  • http://www.bienpublic.com/edition-dijon-ville/2017/02/04/dijon-ils-protestent-contre-l-installation-de-compteurs-linky

    Oui, il faut le faire savoir partout : ces capteurs ne sont pas des compteurs, mais des arnaques, même si provisoirement (durée de vie très brève, entre 5 et 10 ans) ils permettent AUSSI de relever tant bien que mal les consommations.

    Ce sont avant tout des espions de la vie privée, espions qui rendent malades de plus en plus de personnes par leurs émissions électromagnétiques soit par CPL (mon quartier d'émissions d'ondes s'invite chez moi), soit grâce à l'arrosage copieux des concentrateurs-réémetteurs qui en rajoutent une couche dans nos rues.

    Nous avions affirmé notre présence l'an dernier, à l'occasion des Nuits Debout.





    Il faudra que nous réitérions cette présence cette année, avec de plus en plus de déploiements. Toute la France doit savoir que ce danger existe, car très nombreuses sont les personnes qui ne sont toujours pas au courant de la menace. Menace pour la santé, menace pour la vie privée et le risque de coupures par EDF ou par le piratage (y compris la possibilité de monstrueuses "nuits générales", permise par la suppression de certaines sécurités dans le réseau général). Menace aussi pour le portefeuille (augmentation de la taxe de distribution, du prix au KWh, calcul différent par le compteur qui augmente mécaniquement la consommation).

    En attendant (rappel), pour le 10 février à 20 heures nous avons invité Stéphane Lhomme, lanceur d'alerte, salle du Vigneau à Saint Herblain (tram1, arrêt Frachon).




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  • (reçu d'un correspondant)

    La société Enedis a engagé une procédure auprès du tribunal administratif de Rennes contre plusieurs maires du Finistère et des Côtes d'Armor, lesquels s’opposent à l'installation de compteurs électriques Linky sur leur commune. Le jugement est mis en délibéré au 9 mars.

    Par L H <time class="m_-8607521866741984237gmail-text-chapo--date">Publié le 02/02/2017 à 12:44</time>
    <time class="m_-8607521866741984237gmail-text-chapo--date"> </time>
    Enedis (ex-ERDF) demande l’annulation de la décision des maires de Plouguerneau, Cast et Lanvallay qui refusent le déploiement des compteurs Linky, dans le cadre de la loi de transition énergétique publiée en août 2015. L'entreprise leur réclame 4 000 euros de dédommagements.

    Dans cette affaire, les élus bretons évoquent la démocratie et s'inquiétent des effets potentiellement nocifs des ondes dégagées par ce matériel.





     




    "Il est important en tant qu'élu d'interroger la pertinence de ces outils. On n'a pas de garantie d'inocuité sur la santé. On considère que tout ce qui touche les citoyens doit pouvoir être discuté" indique Yannig Robin, maire de Plouguerneau.
    Les arguments avancés par Enedis sont pointés du doigt par Me Dominique Le Chevanton-Coursier. "Si on regarde les textes communautaires, il y a une évolution qui doit être faite en matière d'économies d'énergie. Mais il n'est absolument pas indiqué que les compteurs Linky sont obligatoires contrairement à ce que dit Enedis. Il y a donc un libre choix du citoyen qui peut garder son compteur ou prendre un compteur intelligent autre que Linky. Enedis se met derrière les directives communautaires pour dire que ce compteur est obligatoire mais les situations de monopole sont interdites par le droit communautaire. En Californie, ces compteurs ont été retirés pour des problèmes de sécurité et de santé. En Europe, la Belgique et l'Allemagne sont contre ce type de compteurs" explique l'avocate de la commune de Cast. 

    Le tribunal administratif de Rennes a mis sa décision en délibéré. Le 9 mars prochain, il se prononcera sur la légalité de s'opposer à l'installation d'un compteur Linky chez soi.

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  • Sur son site, Stéphane Lhomme a mis à jour son éditorial, nous vous invitons à le lire : en quatre pages c'est un bon résumé de l'énorme défi que sont les compteurs communicants pour notre vie future à tous. Oui, à tous, tant de de facteurs entrent en jeu que c'est vraiment important, même pour ceux qui "trouvent ça bien" sans chercher plus loin. Comme cet homme "très important" qui, devant notre proposition d'un trac explicatif, déclarait d'un air très sûr de lui, "Ah oui, le Linky, j'ai demandé à EDF de me l'installer"... Dont acte.

    Voilà le document.

    En vue d'une possible tentative d'explications ce soir, nous en avons tiré une vingtaine d'exemplaires sur un 4 pages A4. Ce soir, à la salle du Vigneau de Saint Herblain, comme nous l'avions signalé le 17 janvier, est ouvert un atelier à propos de "la transition énergétique". Il se trouve que les compteurs communicants sont installés (sans doute par ce qu'on appelle  "un cavalier législatif") en vertu de la loi sur la transition énergétique du 17 août (on appréciera la date) 2015. Loi qui oblige Enedis à les déployer, mais qui n'oblige pas les usagers à accepter ce qui est une rupture de contrat. Entre un 50 Hz "propre", et un 50 Hz pollué en permanence par des salves à 75 KHz (environ), il y a la distance entre une belle route bien plane et un chemin parsemé jusqu'à l'horizon de nids de poules et de cahots divers. D'ailleurs, chez ceux qui en "bénéficient" déjà, beaucoup se retrouvent (Enedis refuse de l'admettre) avec des appareils mis vraiment en panne ; comme Enedis n'en reconnaît pas la responsabilité, ils n'ont plus qu'à les faire changer à leurs frais. 

    S'ajoutent à ce tableau des personnes qui, mises en présence du Linky ou d'autres compteurs communicants, basculent dans l'enfer de l'électro-hypersensibilité : c'est au point que, comme nous l'avions signalé, à Chartres de Bretagne le préfet a fait remettre un ancien compteur en novembre dernier. C'est une première ! Ce ne sera certainement pas le dernier cas douloureux auquel il faudra remédier.

    Ces compteurs ne sont en rien une transition vers une vie en commun plus "verte", mais une mise en application de la collecte fine de nos habitudes de vivre à tous. Belle transition en effet, d'une vie intime respectée, à une vie décortiquée jusqu'à l'absurde (chasses d'eau, choix d'une émission à la télévision, vérification si vous vous brossez les dents, et j'en passe). Les compteurs communicants, c'est tout cela, plus le risque de se voir couper brutalement le courant à distance pour différentes raisons, administratives, de piratage, ou autres.

    Vous êtes toujours partants pour "les nouveaux compteurs ? 

    (n'oublions surtout pas que pour le gaz, on commence par vous prévenir qu'on vous change le compteur par un nouveau assez semblable, non communicant, ce qui oblige à couper le gaz, donc à prendre certaines précautions ; en revanche, au cours d'un second passage où vous ne serez pas prévenu, sans avoir besoin de couper le gaz, le poseur fixera sur le nouveau compteur le boîtier jaune vif qui est le vrai Gazpar : sur les compteurs plus anciens l'afficheur mécanique n'est pas exactement au même endroit, et le nouveau boîtier ne peut y être fixé)

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  • Linky : les compteurs de la discorde

    http://www.epochtimes.fr/linky-compteurs-de-discorde-24248.html


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    </section>
    Linky : les compteurs de la discorde
    Un compteur communicant Linky. (Wikimedia Commons)
    Avec l’accélération de la pose des compteurs Linky, le bras de fer s’intensifie entre particuliers récalcitrants et Enedis. À Maisons-Alfort, une dame de 84 ans, qui avait signalé son refus, a eu la surprise de voir un compteur installé. Indélicatesse d’un technicien ? Deux maires de Valencisse (Loir-et-Cher) et Thauvenay (Cher), ont refusé ces installations dans leur ville au moyen d’une délibération de conseil par la suite annulée par un tribunal. Face au peu, voire à l’absence d’informations délivrées par les autorités publiques, les citoyens s’organisent par eux-mêmes. Le professeur en médecine naturelle Jean-Pierre Willem alerte sur les conséquences des compteurs Linky.
    La véritable action contre les nouveaux compteurs d’électricité communicants Linky commence à émerger dans l’Hexagone : une course contre la montre est désormais engagée… Ces installations, imposées sans concertation préalable depuis un an, se voient perturbées par de nombreux incidents. Chaque maire, voire chaque institution, a pour consigne de se tenir à l’écart devant ce déploiement à marche forcée et de laisser les Français seuls face à cette pollution sournoise.

    À l’horizon 2021, Enedis (ex ERDF) prévoit d’installer 35 millions de compteurs Linky dans les foyers français. Cette installation fait suite à une directive de l’Union européenne de 2009, qui exige qu’au moins 80 % des foyers soient équipés en compteurs intelligents à l’horizon 2020. À l’extérieur, 740 000 concentrateurs et antennes-relais seront installés dans les rues et multiplieront notre exposition aux champs électromagnétiques.

    Ces compteurs sont dits « intelligents et communicants » ; leur but étant d’informer en temps réel les usagers de la consommation de courant. La technologie utilisée est celle du Courant Porteur en Ligne (CPL) qui a pour application la superposition d’un signal de plus haute fréquence (entre 63 et 380 Khz) au courant alternatif de 50 Hz.

    Des ondes classées potentiellement cancérigènes par l’OMS
    Selon Joseph Birckner, géobiologiste de renommée internationale, « ce deuxième signal se propage sur toute l’installation électrique jusqu’aux équipements. Cependant, le réseau électrique domestique n’étant pas blindé, il est inadapté au transport des hautes fréquences. » Par conséquent, une grande partie de l’énergie injectée par le protocole CPL est rayonnée sous forme d’ondes radio qui se propagent à l’ensemble de l’habitation. Linky transforme donc toute l’installation électrique (fils et appareils inclus) en émetteur permanent d’ondes classées « potentiellement cancérigène » par l’OMS depuis 2011.

    Outre-Atlantique, une quarantaine de scientifiques et de professionnels de la santé au Québec dénoncent une « désinformation flagrante » dans une lettre ouverte : « Les compteurs intelligents sans fil émettent des micro-ondes pulsées atypiques, de très courte durée mais relativement nocives, dont les effets biologiques n’ont jamais été pleinement testés ».
    « Le brouillard électromagnétique ne se voit pas mais est à l’origine de symptômes multiples, qui vont de l’inconfort au malaise extrême. »
    Nous subissons déjà une litanie d’ondes électromagnétiques. La technologie génère des ondes multiples, en basse et haute fréquence, pulsées, non pulsées, modulées en fréquence et en amplitude. Elles sont des milliards de fois supérieures en intensité à nos courants endogènes. Certaines ondes exogènes viennent perturber nos cellules, les désorganisent dans leur fonctionnement.
    « L’électro-hypersensibilité, selon Joseph Birckner se développe à grande vitesse. Les personnes atteintes sont de plus en plus nombreuses et ne supportent plus d’être exposées aux ondes électromagnétiques. Longtemps considérées comme dépressives, simulatrices, psychotiques, ces personnes sont, depuis peu, reconnues comme de vrais malades. Le brouillard électromagnétique ne se voit pas mais est à l’origine de symptômes multiples, qui vont de l’inconfort au malaise extrême. Les maux de tête, les problèmes de sommeil, les fourmillements, l’engourdissement, les troubles cognitifs sont le plus souvent évoqués ». 

    Début de mobilisation
    Face à cette nouvelle pollution, des citoyens se mobilisent et, à travers des collectifs et des associations, demandent aux autorités de santé la réévaluation du bien-fondé de ces installations. Comme cela a été le cas pour le déploiement de la 4G, il semble que, sous la pression des lobbies, la problématique de la santé et de l’environnement n’ait pas été sérieusement étudiée ou prise en compte.

    Combien de temps encore les maires, derniers remparts sur le terrain, resteront-ils sourds au profond mécontentement de leurs administrés ? Comment accepter encore la pose, beaucoup plus silencieuse celle-ci, des compteurs d’eau communicants avec des micro-antennes de 800 MHz posées tous les trois lampadaires par Véolia ?

    Sur le terrain, c’est dans la nuance que procède Enedis quand elle préconise de poser le compteur en l’absence des habitants pour les compteurs accessibles. « Nous n’insistons pas si vous refusez », dit-elle encore via la voix des poseurs sous-traitants. C’est également dans la nuance que les plateformes téléphoniques indiquent, surtout pour les compteurs intérieurs, que vous risquez des sanctions financières en cas de refus alors que rien n’est prévu ni dans les textes ni dans les tarifs d’Enedis.

    Qu’est-ce qui autorise Enedis à agir en sous-main, laissant les sous-traitants en première ligne  ? C’est oublier la surprise de la contestation qu’elle n’a pas appréhendée. Il est primordial pour l’homme d’être en harmonie avec cet environnement. C’est l’un des premiers enseignements de la géobiologie.

    Pour en savoir plus : L’influence du lieu. Géobiologie et santé, par Joseph Birckner, aux éditions Trédaniel.

    Le docteur Jean-Pierre Willem est le fondateur de l’ONG internationale des Médecins aux pieds nus. Il dirige la Faculté libre des médecines naturelles et d’ethnomédecine à Paris.

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  • Ce matin, encore un article dans Ouest France célèbre une nouvelle résistance.

    Nous allons les contacter. Serrons-nous les coudes. Rappelons plus que jamais que si Enedis est tenu de déployer les compteurs par la loi, les usagers ne sont pas obligés de les accepter. Compteurs dont on sait qu'ils ne sont utiles qu'à ceux qui feront appel (moyennant finance, on peut s'en douter même si la société s'en défend) à Enedis pour utiliser ses montagnes de données, globales, mais aussi personnalisées.

    D'ailleurs, il est très facile de passer une loi ou un simple décret permettant à ces demandeurs de BIG DATA de solliciter ces données au grand jour. Et aussi, encore plus vraisemblable, les "services de l'État" pourront impunément vous surveiller de façon précise, pour savoir à quelle heure vous prenez votre café, votre douche ou votre bain, ou d'autres choses encore plus intimes.





    Donc nous soutenons nos voisins, comme ceux des autres régions de France où des personnes armées de leur seul courage et de leur bon droit luttent contre les volontés du capitalisme, pour la santé de tous, pour le droit à la vie privée, pour la lutte contre le gaspillage (35 millions de compteurs électriques en parfait état pour leur immense majorité, 35 autres millions pour l'eau, 11 millions pour le gaz).



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  • Ce matin, à la lecture d'un article paru dans Réseau International, j'ai vu rouge, et je me suis fendu d'un grand "coup de gueule" dans les commentaires. Le voici.
    Jean-Claude

    -:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:-

     Ah non, alors !

    La Grande Escroquerie, c'est le nucléaire, dont le coût est annoncé comme artificiellement bas parce qu'il est peu tenu compte de l'indispensable maintenance, parce que les fournisseurs sont des pays pressurés par les colonialistes du CEA et d'EDF, comme le Niger (ce qui offre une grande dépendance à un blocus de ces productions par d'autres comme au hasard les USA), et parce que le coût incommensurable du nécessaire démantèlement des centrales, qui aurait déjà dû commencer pour les plus anciennes, n'est absolument pas pris en compte.

    La grande escroquerie, c'est la destruction par Messieurs les Ingénieurs des Mines des prometteuses avancées en énergie photo-voltaïque où nous fûmes pionniers, et où les entreprises qui s'y sont lancées ont été coulées par les mêmes ingénieurs, qui ne voulaient pas de concurrence à leur cher nucléaire, leur joujou bien propret (vu, Tchernobyl, Fukushima ?).

    La grande escroquerie, si c'est vraiment confirmé, ce sont la moitié des éoliennes qui ne sont pas branchées sur le réseau, sans doute parce que leur électricité est "moins propre" que celle de ces vulgaires bouilloires que sont les centrales nucléaires, aussi bien d'ailleurs que les centrales à charbon, à fuel ou à gaz...

    La grande escroquerie, c'est une politique énergétique A-B-E-R-R-A-N-T-E qui veut depuis trente ans au moins chauffer les habitations avec le pire producteur de chaleur, le "grille-pain", qui chauffe surtout le plafond, afin d'y écouler une énergie nucléaire trop surabondante. Maintenant on pense tout de même depuis un certain temps à calorifuger maisons et appartements, parce qu'on s'aperçoit que cela revient cher pour rien. D'où la (applaudissez !) transition énergétique à laquelle il aurait fallu penser il y a quarante ans au moins, transition qui veut surtout cacher la surveillance de tous via les (hi hi hi) "compteurs intelligents" qui sont surtout, comme l'avoue Philippe Monloubou, président du directoire de ENEDIS, trente-cinq millions de CAPTEURS de notre façon de vivre rien que pour les collectes de données électriques (auxquelles il faudra ajouter 35 millions d'autres pour l'eau et 11 millions pour le gaz.

    Incidemment, bravo pour la prétendue "économie d'énergie" : ces compteurs d'électricité consomment plus que les vieux mécaniques increvables, ils comptent votre électricité non en fonction de l'énergie utilisée, mais de l'énergie dispensée. Là intervient le fameux  cosinus Phi :
    http://www.santepublique-editions.fr/objects/linky-comprendre-le-Cosinus-phi-energie-active-et-energie-reactive.pdf
    et avec les ampoules dites "basse consommation", vous payez le double pour un éclairage identique.

    La Grande Escroquerie est donc partout. Mais pour les éoliennes, il aurait été tellement pertinent de les faire bien plus petites et plus nombreuses, pour éviter les pertes d'énergie le long des grands axes de distribution, et pour éviter qu'un piratage des systèmes de compteurs communicants ne transforme une attaque en UN ou deux points sensibles en Grande Panne généralisée. On se souvient de ce qui était arrivé les 26 à 28 décembre 1999 ? Avec le compteur manipulable à distance, cela peut être bien pire.

    Grande escroquerie ! Oui, elle existe, mais pas là où des intérêts privés veulent qu'elle apparaisse.



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